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Loire-Atlantique. Les buralistes ont-ils encore un avenir ?

Président de la confédération des buralistes, Philippe Coy était à Nantes, mercredi 2 mai, pour évoquer l’avenir de la profession.

Philippe Coy (à gauche), président de la confédération des buralistes.
Philippe Coy (à gauche), président de la confédération des buralistes. | PHOTO PRESSE OCÉAN-XB
  • Philippe Coy (à gauche), président de la confédération des buralistes.
    Philippe Coy (à gauche), président de la confédération des buralistes. | PHOTO PRESSE OCÉAN-XB

Avec la baisse des ventes de tabac, les buralistes ont-ils encore un avenir ?

« Oui, bien sûr. Nous avons perdu 8 000 établissements en 15 ans mais il y a encore 25 000 buralistes en France, qui reçoivent 10 millions de clients par jour. Nous restons le premier commerce de proximité ».

Neuf bureaux de tabac ont fermé en 2017, en Loire-Atlantique. Comment enrayer ces fermetures ?

« La seule solution face à la baisse des ventes de cigarettes, c’est de nous adapter, diversifier nos activités, offrir de nouveaux services. Beaucoup de buralistes le font déjà : à côté de la presse et des jeux, ils font du relais colis, proposent le compte Nickel, vendent de la petite épicerie, des viennoiseries, etc. L’idée, c’est qu’ils deviennent les drugstores de la vie quotidienne pour les Français ».

À lire en intégralité dans Presse Océan du jeudi 3 mai, disponible en édition numérique 

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